18 octobre 2009

sortie du 18 octobre 2009

Présent : Robin... Départ de la Ferté Alais, temps ensoleillé, sol sec, froid de canard (1°C). Franck et Frédéric m'avaient fait l'amitié de me prévenir qu'ils ne seraient pas au départ. Je ne les ai donc pas attendu. Cela ne me gêne pas de rouler seul, j'y suis largement habitué, attendre inutilement en revanche... Je décide donc de cesser de jouer l'apôtre de la rando à disposition. Mes amis savent où me trouver, et ils m'y trouveront à coup sûr. Le froid était vif, les nappes de brumes intenses dans les vallées. Les chasseurs étaient très nombreux, cela pétaradait de partout, je me suis même demandé s'il était bien raisonnable de continuer au milieu de tous ces tirs. Je pense que des brassards fluos comme en portent les chasseurs ne sont pas inutiles dans ce genre de région à cette époque. La ferté Alais est peu accessible, il faut bien 45mn pour y aller en partant d'Antony. Ce n'est donc pas un lieu de départ idéal. Je retiens qu'à gauche de l'Essonne il faut partir d'Etrechy, à droite de Soisy sur Ecole. Je retiens aussi de très beaux coins sablonneux (type Milly la Forêt) du côté d'Orveau. Je ne constate aucun écart entre la route prévue et la trace enregistrée, comme quoi... Cela étant , faire attention à la route prend du temps, ma moyenne est tombée à 19kmh pour 51,6km et D+618m. Tant pis, c'était une belle ballade.

1 commentaire:

  1. Jolies photos ! Et bravo pour le suivi de la route : tu n'avais pas l'âme rebelle ce matin ?
    J'ai roulé tout seul de mon côté pour être de retour à 11h30. 45km, D+500m, petite sortie tranquille du côté de St Rémy. Je confirme le froid pinçant. J'étais en cuissard court, mais c'est aux orteils que j'ai eu vraiment froid. Je me suis encore fait avoir dans le bois vers Magny-les-Hameaux où le pont n'est toujours pas réparé. La perspective de me mouiller les pieds par ce temps m'a donné un sens de l'équilibre tout neuf pour traverser sur une grosse branche posée en travers du ruisseau !

    À dimanche prochain si tu ne pars pas de trop loin.
    Frédéric

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